u détour de l’allée d’une exposition féline, un chat aux yeux d’un bleu intense me fixait. « C’est un sacré de Birmanie », me dit-on, selon la légende il viendrait d’un temps immémorial où « animaux, hommes et dieux communiquaient ».
Unique... est le terme qui convient le mieux au sacré de Birmanie.
Unique, il l’est par son nom évocateur des splendeurs de l’Orient et de sa magie.
Unique, par ses gants blancs qui le rendent si séduisant, par son poil soyeux, sa
queue en panache, sa fourrure somptueuse.
Unique, par ses yeux saphir, son masque, ses oreilles, ses membres et sa queue
qui contrastent avec son corps.